Bilal Enki, Le sommeil du monstre.

Premier épisode d'une trilogie qui s'annonce très bien. Toujours un monde bilalien entre Brazil et le 5ème Elément et des images superbes, touffues et brumeuses, à l'instar d'un scénario très travaillé. Début de la longue histoire de trois êtres réunis puis séparés par la guerre de Bosnie alors qu'ils étaient encore nouveaux-nés.

Bilal Enki, La foire aux immortels.

Premier volet de la Trilogie Nikopol. Le pôôôvre Alcide Nikopol retombe lourdement sur Terre après trente ans d'hibernation dans l'espace en compagnie d'un robot assez peu sympathique (vous me direz, il s'en foutait, il dormait, alors…). Le retour est un peu difficile quand on tombe dans le Paris du dictateur néo-mussolinien Jean-Ferdinand Choublanc et qu'un dieu égyptien vous tombe sur le paletot...

Bilal Enki, La femme piège.

Deuxième partie de la trilogie Alcide rencontre Jill qui, comme lui, vit un peu dans le passé tout en essayant de l'oublier et d'aller de l'avant sans toutefois bien savoir où… ça a l'air un peu compliqué comme ça mais… ça l'est effectivement. C'est une histoire de pilules jaunes ou rouges et de main sanguinolente dans un gant de cuir, de dieu égyptien mégalo à 200% et d'eierkrieg… Oh, et puis vous n'avez qu'à le lire !

Bilal Enki, Froid Équateur.

Dernier volet. Sans doute le meilleur. Dessins, mise en image, scénario, tout est impeccable. Les personnages se croisent, se recroisent, se "reconstruisent" (ils en ont bien besoin !) et échouent tous lamentablement… Sauf peut-être Horus qui trouve le moyen de rebondir, mais forcément, quand on est un dieu, c'est pas du jeu hé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

Ptiluc

Ni Dieu ni Bête, Tome 1 Elucubrations primales.

Ni Dieu ni Bête, Tome 2 Entre débâcle et débat.

Ni Dieu ni Bête, Tome 3 Le sexe des anges et l'âme de la guenon.

Des singes en observent d'autres… Enfin, disons qu'un vieux chimpanzé admiratif des "prouesses humaines" ("les machiiines, les 'tomobiles") et désespéré d'avoir plus de doigts que nous mais "rien que pour bouffer des cacahuètes, quel gâchis !" essaie de convertir un jeune singe à sa vision des choses : faire progresser le singe pour au moins égaler l'Homme… Évidemment, les deux chimpanzés jouent le rôle des candides et Ptiluc en profite pour nous brosser une critique sociale en règle… mais on l'a bien mérité, car comme dit le vieux singe : "Petit… la grandeur de l'Homme se mesure à la taille de ses cimetières militaires".

 

 

 

 

 

 

 


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